Technopole des technologies de l'information

La rue devant La technopole se vide rapidement.

Dans le hall, Un immence comptoir circulaire te fait face. Cinq femme travaille comme receptioniste.
Une vingtaine de personne font la queue.
De chaque coter du comptoir une porte vitrer coulissante.
Deux vigiles se trouve de chaque coter. Le centre a l'air bien proteger !

Faisant ce constat, Arthémis se résigna à confier son arme à ses gardes et à entrer sans rien dans le bâtiment. Elle avança lentement pour voir quelle serait la réaction des gardes et se dirigea vers une récéptioniste pour lui dire :

Bonjour Mademoiselle, je suis Arthémis White et je désirerais parler à Mr le responsable du "(nom du journal local le plus connu)". Pourriez vous m'indiquer où le trouver je vous prie ?

La maitresse des Free Chaos était souriante comme rarement et attendit la réponse.

Aucun garde ne bougea.
Receptioniste:

-Il faut obtenir un rendez-vous Mademosielle! Mr. Freug n'est pas disponible sur demande !



(nom du journal: "Danga" (la gazette de dangust))

La Free Chaos tapota ses mains l'une contre l'autre et dit avec un regard agacé :

Il trouvera certainement du temps pour Arthémis White n'est-ce pas ? Surtout après ce qu'il a osé dire sur elle...

Elle accentua ses paroles sur son nom afin qu'une bonne partie des gens se trouvant aux alentours l'entendent... elle voulait provoquer son effet afin de donner à la réceptioniste, en la faisant entrer, d'éviter un scandale.

-Arthemis White vous dite ? Je ne connais pas...

les autres receptionistes avait lever la tete vers toi et firent de grand yeux a la receptioniste qui te parlé, une lui chuchota qui tu étais.

-Euh attendez, je vais voir s'il peut vous recevoir....

La salle se vida de moitier rapidement, par chance les gardes n'avaient pas reagie.
La fille lui telephona et lui demanda, quelques secondes plus tard elle te disait de prendre la porte gauche et de monter au deuxieme et elle t'indiqua la porte du bureau.

-En revoir Mademoiselle. Au suivant.

Arthémis lui fit un franc et étrange sourire qui témoignait d'une pensée interne du type :

** Ca marche à tous les coups...il faudrait que j'arrête un jour...**

Puis elle la remercia quasiment en riant et suivit la direction qu'elle lui avait indiqué jusqu'au bureau du propriétaire importun...

Tu trouve assez facilement le bureau qu'on ta indiquer. Pas trop dure tout est fleché...meme un peu trop.
Tu te trouve devant la porte.

Tu entends après avoir taper:

-Entrer, enter.

En ouvrant la porte (si tu l'ouvre) tu aperçois un bureau de dimension sympathique. Derrière un large bureau un large fauteuil en cuire avec dessus un large patron...Des portrait de différente personne trône sur les mure. Sur le bureau traîne différent papier.

Deux siéges en face du patron son vide. Apres s'être lever il te fait signe de t'assoire, pour se rasoir en même temps que toi.

Arthémis entra, le patron lui parut aimable de prime abord et elle se mis donc en confiance pour parler...de toute façon, il en fallait plus qu'un directeur de gazette pour déstabiliser la chef des Free Chaos. Elle affichait donc le sourire de vigueur, celui qu'elle avait appris en cour de communication en sciences politiques pour les réceptions officielles. Elle avança et pris place dans le bureau, elle croisa les mains et dit :

Bonjour Monsieur, il me semble que vous n'êtes pas sans ignorer qui je suis étant donné la réaction que vos associés ont adopté en entendant mon nom à l'entrée... Je suis Arthémis White, chef des Free Chaos et je vient mettre les choses au point à propos d'un papier mensonger que l'un de ces mêmes associés a précédemment écrit concernant notre organisation anti-criminelle. Comment voulez vous que nous ayons l'appui de la population avec de telles calomnies à notre encontre ? Nous avons toujours aidé les autorités locales dès que nous le pouvions, vous le savez...

A ces derniers mots, Arthémis avait vu son sourire devenir mesquin plus que courtoi...

Le patron paru étonné de ton discoure, il avait l'air de connaître ton nom des le début de l'entrevue.

-Je vous connais. Et mes informations viennent de source sur ! Comment osez vous venir dans mon bureau pour dire que vous êtes du coter de la police ! Vous qui avez assassiner tant d'enfant innocent ! Vous êtes un clan comme les Overdead et les The Monster ! Les Freechaos font leur justice par le meurtre...pas par l'égalité et les lois !

Tu l'avais mit dans une sacrès colere. Il se posa bien cotre son dossier et arreta de parler

Arthémis était partagée entre colère face à de telles calomnies et hilarité face à l'absurdité du discours de son interlocuteur, elle choisit donc d'afficher le deuxième de ses sentiments sur son visage par l'intermédiaire d'un sourire sadique. Elle répondit alors :

Vous osez me parler de sources sûres, et bien j'aimerais réellement savoir qui peut être plus sûr qu'une ancienne magistrate dont l'organisation, qu'elle vient de reprendre sous son commandement, a totalement changé de politique grâce à elle et collabore désormais avec la police...

Elle devint sérieuse :

Je peux vous assurer qu'aucun enfant n'a été tué sous mon commandement et que les morts qui on été faits l'ont été lorsqu'il n'y avait pas d'autre choix...

Et redevint maligne dans son regard mais parut légèrement songeuse en même temps :

Je suis certaine que même un juge ou un CACP pourrait qualifier ces actions de positives et ce n'est certainement pas un journaliste qui ruinera cette réputation duement acquise au sein de la ville...

Sur ce, elle prit la porte en disant pour terminer :

La prochaine fois, vérifiez tout de même ce que vous disent vos sources, même si elles sont sûres... immaginez simplement que l'attaque ait eu lieu mais organisée par quelqu'un d'autre... je n'aurais en ce cas pas pu envoyer mes hommes pour aider de peur de les voir revenir à moi entre quatre planche de bois scellées...

Elle sortit puis quitta le batiment en reprenant ses armes à ses hommes. On ne la vit bientôt plus.

Drik arriva enfin à la technopole sous forum humaine. Il se dirigea vers l'acceuille et commenca a parler avec un des femme presente.
Apres quelque minute de discution il s'en alla.

Delkor arreta sa voiture assez loin du technopole. il en descendit, saisit son telephone et appela.

"Les gars, regarder les alentours pour voir si y'a pas de danger, laissez les P90 dans la voiture, plus discret."

** Quel étrange personnage ** [HJ/ moi aussi jpeu faire des clin d'oeuil :p]

Ok Ouragan.

Tous en pensant à cela, Levy contourna la voiture et posa ses coudes sur le capot et sa tête dans les mains, en attendant les ordres...

Range ça! Immagine que quelqu'un le voie ! Attendons les ordres du chef !

[HJ/ Et si Dirk pouvait venir nous dire ce qu'on voit, ce serai franchement bein merci]

La rue est assez passante mais aucune personne n'a l'air de se preocuper de vous.
Une personne qui pasait pres d'Ouragan s'en alla en courant.


[HJ:j'étais pas chez moi....désolé]

Voyant l'homme se sauver, Delkor se retourne vers Ouragan, de sa mains valide, il n'hésite pas a lui mettre une claque.

"Crétin!! genre discrétion, ca craint!!! repar moi ce que t'a fait!!!! et rang moi ce P90!!!"

Delkor parla au téléphone, puis d'un coup, il raccrocha, il etait vraiment enragé. Il se dirigea vers la voiture, en sortit un P90 qu'il empoigna

"Ouragan!!! utilise ta dynamite, fais moi peter ce dome a deux balles, pose la dynamite et planque toi avec nous après!!"

Le skaarj cherhca un endoit ou il ferait bon se cache, et se placa derrière une grande poubelle en fer.

"Levy, pend tout l'equipement qu'il y'a dans la bagnole!! en principe, elle ne devrait pas être abimer, elle est assez loin! mais, si els flics debarque et nous piques nos P90...

Allez execution, et plus vite que ça!!!"

Le skaarj chargea son P90, prêt a toute evantualité.

"On se cassera après que ca ait peter."