Les rues du coin ne sont pas très différentes de celles que l'on peut trouver au nord de la ville. Les débris, les trous, les ruines, les lampadaires gisant au sol... la différence est qu'ici les gens sortent encore moins, plus peureux diraient les autres. On trouve beaucoup d'épave - humaine cette fois-ci - qui trainent contre les murs, enroulés dans de grossières couvertures. Ils se plongent dans les rêves artificiels que leurs procurent les Herboristes, en attendant que la mort les cueillent.
Les bâtiments sont aussi ruinés qu'ailleurs, mais peut être moins "nettoyés", donc encore moins praticable. Les herboristes ont beaucoup de revendeurs pour leurs produits, dans le coin. Qu'ils fassent officiellement partie de leur organisation ou non.