Magasin de fringues : Chauss'Chauss

Errtu pris sont argent et attendit ses instructions

Je tiens à vous rappeler les prix : c'est 25 pour la téléportation et 300 de versement. Vous me devez donc encore 45£.

Le patron regarda le contrat et s'appercu de son erreur.

-Attendez

Il ouvrit la caisse et sortit 45£ qu'il donna a Evras:

-Voila....

En disant ce mot un client arriva et commenca à regarder les chaussures de sport.

Evras prit l'argent, salua le commarçant, donna 70£ à Errtu, fit signe à Errtu de le suivre et partit en direction du QG des OverDead.

Errtu suivi son patron

Evras gara sa voiture non loin du magasin. Il resta dedans un petit moment, le temps de vérifier :
- que l'étui du flingue était bien en place
- que le flingue contenait des balles
- qu'il était chargé
- que son porteur avait l'air d'un honnête citoyen... du moins à peu près.

Une fois ces vérifications terminées Evras sortit de sa voiture, le taser glissé sous sa ceinture (à son coté gauche), caché par sa veste, le pistolet parfaitement accessible (si on essaie de le prendre avec la main droite). Il entra dans le magasin et alla voir le vendeur.

hj/ Lucas (le garde) est-il là ? Sinon y a-t-il un autre garde ? /hj

Bonjour monsieur, vous vous souvenez certainement de moi. J'ai quelques affaires lucratives à vous proposer, si nous allions dans votre salle annexe ?

Evras sourit à l'homme, s'efforçant de se montrer sympathique.

A merveille ! Les bénéfices pleuvent et je voudrais en faire profiter mes associés. Nous faisons affaire ensemble, alors je voudrais vous associer de plus près aux miennes. Une sorte de petit cadeau, car il serait injuste que vous ne profitiez pas d'une richesse à laquelle vous participez en m'ayant fourni des fonds.
Et puis je me disais que cela ferait plaisir à votre femme, si je vous permettais de lui faire de petits cadeaux en plus de temps en temps. Je ne résiste pas à l'envie de rendre les femmes heureuses.

Evras lui fit un sourire dont il fut par la suite particulièrement fier (souvent il n'y arrive pas très bien).

Alors que diriez vous que nous nous associons plus étroitement ? Je vous fourni de l'argent de temps en temps, et en échange vous m'apuiez si je vous le demande. Oh rien de gênant, juste dire que je suis bon pour vos affaires si quelqu'un est sceptique, de petites choses. Cela vous va ?

Le visage du gérant resta neutre :

-Mais... Une question, je vous paye pour que vous garentisiez la securiter de mon magasin. Et vous voulez me payer pour que je vous apuie. Mias vais continuer a vous payer.. Ou...

Vous me payez pour que je garantisse la sécurité, en effet, mais cet argent me sert à faire encore plus de bénéfices.
Vous n'avez pas encore eu besoin de mes services, n'est-ce pas ? Alors pour que notre accord marche dans les deux sens quoi qu'il arrive, si vous n'avez pas besoin de moi, je vous rembourse sous forme de cadeaux, services ou apuis. Et en échange vous dites juste que mon entreprise vous est profitable.
Vous connaissez beaucoup d'entreprises d'assurance qui vous remboursent en partie s'il ne vous arrive rien ?

Alors je résume : vous continuez à payer, et je vous rembourse de manière partielle sous forme de services s'il ne vous arrive rien. Cela vous est profitable, non ?

**"Pour vous et vos hommes sachez que mes chaussures seron toujours en solde"... En voilà un qui a compris comment ça marche.**

Evras serra la main du marchand.

Je n'y manquerais pas... Et pour bien commencer nos affaires, vous avez un problème quelconque que je pourrais régler pour vous ? Demandez n'importe quoi, si je peux le faire, ça sera fait.

D'accord, ce sera fait. Je vous laisse, j'ai d'autres clients qui m'attendent. Au revoir.

Evras sortit du magasin en saluant Lucas au passage, se dirigea plus loin dans la rue, s'arrêta et sortit son téléphone portable. Il essaya de joindre Rizzen. --> PM.

Evras entendit la réponse de Rizzen, vit que celui-ci avait raccroché... et se sentait vraiment pas joyeux.

**ça marche ? comment ça ça marche ? ça veut dire quoi ? On se retrouve où, on fait quoi ? Putain faudra apprendre à donner un minimum de précisions.**

Il rangea son téléphone dans sa poche, déclancha l'ouverture de sa voiture, y entra, déplaça son taser qui le gênait, prit le volant et démarra la voiture. Direction le QG : Evras en a marre que tout le monde se foute de sa gueule...